Le premier recueil de Lyncée, à compte d’auteur et sous son nom de baptême ou d’état civil qui sont des registres sacrés de faible importance. Une quinzaine de poèmes de prime plume agrémentés des coquilles que l’auteur avait laissé traîner et augmentées de celles que cet escroc d’éditeur a introduit avant d’adresser le BAT à cet aveugle de peu de ressources d’accompagnement d’alors.
Il en reste un carton pour des achats bien délicats puisque la monnaie du prix unique de vente ne se trouve plus disponible que dans de rares collections et de vieux bas de laines abandonnés on ne sait où exactement et on s’en moque bien à présent.
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